COSAV Terres et Sols
La Communauté de savoirs « Terres et sols » (Terresol) réunit des spécialistes des sciences de la planète, de la vie et des sciences sociales,
capables de répondre de manière intégrée et transdisciplinaire aux défis posés par les usages des terres et des sols dans les pays du sud.
- Agriculture
- Grande Muraille Verte
- Durabilité
- Agroécologie
- Appropriation
- Dégradation des sols
- Séquestration du carbone
- Observation de la terre
- Agro-hydrologie
- Physique des sols
- Biologie des sols
- Biomasse
- Sciences agronomiques et environnementales
- Climate change
- Phytopathologie
- Amélioration variétale
- Microbiologie du sol
- Sciences du Sol
- Ecophysiologie
- Bioclimatologie
- Biostatistique
- Entomologie
- Géographie physique et humaine
- Pédologie
- Géomorphologie
- Climatologie
- Démographie
- Biologie
- Microbiologie
- Biotechnologie
- Biochimie
- Agronomie
- Génétique
- Biologie moléculaire
- Ecologie des sols
- Physiologie
- Socio-économie
- Sciences de l'environnement
- Sciences informatiques
- Statistiques
- Génomique
- Ecologie du sol et des écosystèmes
- Economie
- Ethnoécologie
- Agroforesterie
- Transition agraire et territoires
- Hydrologie
- Glaciologie
- Hydrogéologie
- Epidémiologie
- Ecologie
- Géochimie
- Ecologie urbaine
- Intelligence Artificielle
- Land use and planning
- PE10_17 Hydrology, hydrogeology, engineering and environmental geology, water and soil pollution
- Geology, tectonics, volcanology
- Article Blog
- Support de Conférence
- Livre
- Projet
- LMI
- IRN
- JEAI
- Projet (ANR)
- Projet (FSPI)
- Projet (Horizon Europe)
Suivi spatio-temporel d'une pratique agronomique d'Inde du Sud.
Suivi spatio-temporel d'une pratique agronomique d'Inde du Sud.
Ce projet propose d'étudier cette pratique d'épandage de sédiments provenant de réservoirs d'eau asséchées sur des champs agricoles, dans le bassin versant de Berambadi en Inde du Sud. Ce projet est basé sur les données VENμS et Sentinel-2, et s'interresse à un site d'étude en Inde, du SNO M-TROPICS labellisé OZCAR.
Projet Litière forestière fermentée (LiFoFer)
Projet Litière forestière fermentée (LiFoFer)
Le projet LiFoFer vise à valider scientifiquement l’utilisation de Litières Forestières Fermentées comme biofertilisant pour des applications en maraichage, arboriculture et viticulture. La litière forestière est composée d’une riche biodiversité microbienne : bactéries, levures, champignons. Certains de ces microorganismes décomposent la matière organique et produisent des molécules bénéfiques pour la fertilité des sols et la résilience des plantes aux changements climatiques. Pour obtenir ce biofertilisant efficace, la recette est simple et économique : on mélange de la litière forestière « active » avec des substrats - sous-produits de l’industrie alimentaire facilement disponibles et bon marché - riches en carbohydrates et sels minéraux (son de blé, mélasse) et en bactéries lactiques (lactosérum). On laisse fermenter pendant un mois, puis on « active » le milieu solide dans une solution sucrée pendant 6 à 7 jours pour un épandage, après dilution, dans le champ, voire sur les feuilles (lutte biologique). Cette méthode de fertilisation est utilisée par les paysans du Sud (Asie du Sud Est, Amérique Latine), mais reste peu connue dans les pays industrialisés plus tournés vers une agriculture productiviste à hauts intrants chimiques. A Cuba, la LiFoFer est largement utilisée comme fertilisant mais aussi contre certains parasites fongiques ou bactériens des plantes. Elle est également utilisée comme probiotique dans l’alimentation animale et l’assainissement de bâtiment d’élevage (mauvaises odeurs). Ce bio-produit est par ailleurs testé dans d’autres domaines : dépollution des eaux et des sols, détoxification de résidus agricoles pour l’alimentation animale, ...
Durabilité, Physique des sols, Séquestration du carbone, Biofertilisants
Biodiversity and Sustainable Agriculture in the Tropical Andes (BIO-INCA)
Biodiversité , Changement climatique , Systèmes alimentaires durables ...
Biodiversity and Sustainable Agriculture in the Tropical Andes (BIO-INCA)
Biodiversité, Changement climatique, Systèmes alimentaires durables
Recherche, expertises scientifique et savoirs pour la gestion Durable des Terres et des Territoires de la GMV (RESET-GMV)
Recherche, expertises scientifique et savoirs pour la gestion Durable des Terres et des Territoires de la GMV (RESET-GMV)
EUROSION
L'érosion des sols représente une menace significative pour l'agriculture et l'environneme...
EUROSION
L'érosion des sols représente une menace significative pour l'agriculture et l'environnement. À l'échelle des parcelles agricoles, elle peut entraîner une baisse de la capacité de rétention d'eau et/ou de la fertilité des sols, réduisant les rendements agricoles. À plus grande échelle, l'érosion hydrique peut provoquer des inondations boueuses et l'envasement des cours d'eau, tandis que l'érosion éolienne et les émissions d’aérosols qui l'accompagnent dégradent la qualité de l'air. Le projet EUROSION répond à ces enjeux en construisant une approche multi-processus : il s’agit d’harmoniser les méthodes, indicateurs et modèles existants, pour mettre en place un réseau de surveillance robuste et dynamique, à différentes échelles spatiales et temporelles. L’objectif est double : évaluer l’état et les tendances de l’érosion des sols et accompagner les décideurs et gestionnaires de terres agricoles vers des pratiques de gestion plus durables.
Evictions, relocalisations, arrangements fonciers et justice socio-spatiale au Sénégal (Justice Foncière)
La JEAI « Justice foncière » vise à proposer une analyse transversale, en termes de justic...
Evictions, relocalisations, arrangements fonciers et justice socio-spatiale au Sénégal (Justice Foncière)
La JEAI « Justice foncière » vise à proposer une analyse transversale, en termes de justice, des processus de dépossessions foncières dus aux investissements pour le développement et aux problèmes environnementaux au Sénégal. Que ce soit dans les infrastructures de transports, dans les lotissements, dans les zones industrielles ou l’agrobusiness, ou dans le développement minier, les multiples investissements liés aux politiques de développement ont une emprise forte sur les territoires et induisent des pertes de terres agricoles importantes pour les occupants des espaces concernés, parfois des déplacements d’habitations. Du fait de l’érosion côtière, des habitants doivent être relocalisés, de façon volontaire ou forcée. Ces différents processus ont en commun d’impliquer des pertes en terres pour les populations concernées, avec des compensations (par relocalisation et/ou par indemnisation) qui sont le plus souvent bien en deçà des préjudices subis. Cette situation est à la source de nombreux conflits, et suscite des mobilisations pour tenter de s’opposer aux dépossessions ou revendiquer des indeminisations décentes. Légales ou non, les dépossessions liées aux investissements posent ainsi des questions de justice, en termes distributifs (la répartition des terres et celle des coûts et des bénéfices des investissements entre citoyens et entreprises, ou entre citoyens), mais aussi procéduraux (la façon dont les droits des citoyens sont ou non pris en compte). L’objectif du projet de JEAI « Justice foncière » est de produire des travaux de recherche comparatifs sur les processus de dépossession foncière, leurs causes et leurs conséquences pour les familles impactées, sous l’angle novateur des enjeux de justice socio-spatiale et environnementale. La JEAI rassemble une équipe pluridisciplinaire d’enseignants chercheurs et de doctorants de trois structures d’enseignement supérieur et un think tank spécialisé sur les politiques agricoles et foncières. L’équipe mènera des recherches sur les dépossessions foncières liées aux dynamiques foncières rurales périurbaines, aux projets publics et privés d’aménagement et d’investissement, à l’expansion des activités minières et à la relocalisation de populations impactées par l’érosion côtière, et leurs conséquences en termes d’inégalités foncières et de fragilisation des moyens d’existence. La JEAI permettra de créer une équipe de recherche pluridisciplinaire sur ces enjeux cruciaux. Elle permettra la formation d’une génération de jeunes chercheuses et chercheurs maîtrisant recherche fondamentale et recherche partenariale. Elle offrira un cadre d’échanges scientifiques, associant chercheurs de différentes universités du Sénégal et parties prenantes des enjeux fonciers et tout en alimentant le débat public dans un contexte où les nouvelles autorités de l’État sénégalais ont montré leur volonté de rouvrir le dossier de la réforme foncière.
Amélioration Variétale pour Optimiser la Santé des légumineuses cultivées en zone soudano-sahélienne au Cameroun (AVOSAN)
La culture des légumineuses en zone soudano-sahélienne, à l’instar de l’arachide (Arachis ...
Amélioration Variétale pour Optimiser la Santé des légumineuses cultivées en zone soudano-sahélienne au Cameroun (AVOSAN)
La culture des légumineuses en zone soudano-sahélienne, à l’instar de l’arachide (Arachis hypogea) et du niébé (Vigna unguiculata), constitue une alternative pour améliorer la nutrition azotée des êtres humains et des animaux. Au-delà du fait que 75 % de la consommation de base provient des légumineuses et des céréales, les légumineuses à graines sont riches en oligoéléments, en protéines et en énergie. L’intérêt économique des légumineuses réside également dans le fait que leurs coûts de production à graines sont inférieurs à ceux des céréales (Kouebou et al., 2013). Elles contribuent également de manière significative à l’amélioration de la fertilité des sols grâce à leur capacité de fixation d’azote atmosphérique et permettent ainsi d’augmenter les rendements des cultures utilisées en rotation telles que le sorgho (Sorghum bicolor), le cotonnier (Gossypium spp) et le maïs (Zea mays). Cependant, ces cultures sont sujettes à de nombreuses contraintes, notamment la recrudescence des maladies et la baisse de la fertilité des sols. La réponse à ces contraintes passe souvent par l’utilisation de pesticides et d’engrais de synthèse parfois non disponibles et souvent hors de portée des agriculteurs et produisant des externalités négatives tant sur l’environnement que sur la santé humaine (FAO, 2019). Une alternative durable consiste à optimiser la résistance naturelle de ces Légumineuses, en exploitant leur biodiversité (Singh et Ajeigbe, 2002). Ainsi, plusieurs espèces sauvages de Vigna sont hautement résistantes aux insectes et aux maladies et ces variétés sont souvent utilisées comme sources d’amélioration génétique du niébé (Ogundiwin et al., 2002). Par ailleurs, les légumineuses de par leur capacité à fixer biologiquement l’azote atmosphérique peuvent contribuer à améliorer la teneur en azote du sol sans avoir recours à des engrais de synthèse. Une variabilité de ce trait existe également parmi les variétés cultivées mais ce trait a rarement été intégré dans les stratégies de sélection variétale. Enfin, les Légumineuses cultivées en rotation ou en association avec des céréales ont aussi pour effet une baisse de la pression parasitaire sur les cultures céréalières et un besoin réduit en azote pour celle-ci. L'utilisation de variétés de Légumineuses résistantes aux maladies et fortement fixatrices d’azote dans les systèmes de culture est donc une des meilleures solutions d’accroître durablement la production à l’échelle des exploitations tout en minimisant l’utilisation d’intrants chers et nocifs pour l’environnement et la santé humaine. De telles variétés permettraient en outre de disposer d’une source de protéines à faible coût et ainsi d’améliorer l’alimentation de la population tel que proposé par la FAO (http://www.fao.org/pulses-2016).
Restauration et Valorisation des terres salées par des stratégies de lutte combinée (REVASALT)
Restauration et valorisation des terres salées par des stratégies de lutte combinée pour u...
Restauration et Valorisation des terres salées par des stratégies de lutte combinée (REVASALT)
Restauration et valorisation des terres salées par des stratégies de lutte combinée pour une amélioration de la sécurité alimentaire au Sénégal. Le projet vise la restauration et la valorisation des sols salés du Sénégal (plus d’un million d’hectares) qui affectent négativement le fonctionnement des sols et la croissance des plantes. Il est donc d’un très grand intérêt pour le développement agricole du Sénégal et s’inscrit pleinement dans la science de la durabilité avec une équipe multidisciplinaire et multipartenaire. Différentes pratiques de restauration existent déjà mais qui méritent d’être optimisées, combinées à des pratiques culturales, agro-écologiques, adaptées. L’une des solutions est de proposer des variétés de plantes tolérantes au sel (pour l’arachide et le mil).
Risques HYdrologiques au MAghreb - Crues et Érosion des Sols (RHYMA-CES)
De par son contexte climatique, biophysique et anthropique, la région méditerranéenne est ...
Risques HYdrologiques au MAghreb - Crues et Érosion des Sols (RHYMA-CES)
De par son contexte climatique, biophysique et anthropique, la région méditerranéenne est fortement affectée par les événements extrêmes, avec des phénomènes de crues et d’érosion des sols particulièrement dévastateurs. Ces événements extrêmes constituent une menace pour l’homme et le développement socio-économique des zones touchées. Les principaux impacts concernent : i) les vies et activités humaines (i.e. dommages et dégradation lors des crues ou coulées boueuses); ii) la production alimentaire (i.e. perte du potentiel agronomique); iii) le stockage de l’eau dans les barrages (i.e. rupture et envasement); iv) la pollution de l’eau (i.e. entraînement des contaminants); v) la modification des équilibres biophysiques côtiers. L’enjeu est très important pour les pays de la rive sud qui sont particulièrement vulnérables à ces menaces, comme en témoignent la multiplication récente des catastrophes. La dégradation des sols par l’érosion est une conséquence des crues, mais elle est aussi un facteur d’accentuation via l’altération de la capacité des sols à retenir l’eau. Les risques d’inondation et d’érosion sont donc étroitement liés et doivent être appréhendés simultanément lorsque l’on explore les solutions d’atténuation et de prévention. L’objectif central de l’IRN RHYMA-CES est de fédérer un collectif sur l’étude des risques de crues et d’érosion des sols au Maghreb destiné à partager et développer des moyens, des savoirs et des expertises autour de trois axes de recherche. Le premier vise à améliorer la modélisation et la prévision de ces phénomènes et de leur impacts pour des enjeux de suivi et gestion de crise, le second à prédire leur évolution sous conditions futures probables pour des enjeux de planification; le dernier à explorer les stratégies d’atténuation adaptées aux conditions locales pour des enjeux de prévention. Construit dans la continuité directe du GDRI/IRN RHYMA (Phase 1 : 2020-2024), il se focalise sur les événements de crues et les problèmes d’érosion des sols associés, et vise à compléter le collectif de RHYMA avec des partenaires ayant capitalisé un savoir-faire au sein de diverses infrastructures et programmes de recherche au cours de la dernière décennie : la JEAI Vecteur (2013-2017) et la mise en place du réseau de mesures de flux solides de l’ABHBC en partenariat avec l’Université de Rabat au Maroc; la JEAI JEENS (2019-2022) en Algérie; le LMI NAILA (depuis 2016) et l’observatoire OMERE (depuis 2003) en Tunisie; le réseau R_Osmed (MISTRAL SICMED, 2012-2015), le projet ALMIRA (ANR Transmed 2014-2018) et le projet MASCC (Arimnet2, 2016-2019) pour les initiatives structurantes sur le pourtour de la Méditerranée. Plusieurs échelles spatiales seront considérées, depuis l’échelle régionale pour prioriser les zones à risque jusqu’à l’échelle de petits bassins versants pour évaluer les impacts et faire le lien entre les leviers d’atténuation, qui sont souvent mis en oeuvre sur les versants (ex : pratiques agricoles, aménagements anti-érosifs), et les manifestations de l’érosion et du transport solide, qui se produisent à la fois sur les versants (ex : pertes de fertilité des terres) et sur les infrastructures situées en l’aval (ex : envasement des barrages), afin de développer une approche sur le continuum Homme-Terre-Mer. Les activités seront déclinées en trois volets. Le premier vise à organiser des ateliers de formation-transfert, de type école d’été, à destination d’étudiants et de professionnels du secteur de la gestion de l’eau et des sols; le deuxième à financer des missions d’échanges scientifiques pour des doctorants et enseignants-chercheurs, dans le but de favoriser les collaborations internationales Sud-Nord et Sud-Sud; et le troisième à développer des bases de données sur les événements hydro-érosifs et leurs impacts au Maghreb, qui manquent actuellement pour l’Afrique dans le paysage international.
À PROPOS DES COSAV
Les Communautés de Savoirs (CoSav) sont des enceintes de dialogues et d’échanges réunissant des collaborateurs de l’IRD et des partenaires autour de grands défis sociétaux.
Héritières des PSIP, les communautés de savoirs se positionnent à la fois en ciment interne de l’IRD et en point d’appui pour des activités fédératrices et innovantes. Ces communautés assurent un cadre de collaboration propice à l’émergence et la co-construction de projets multi-acteurs.
En poursuivant une démarche transdisciplinaire, et avec pour repère la réalisation des ODD (Objectifs de développement durable), les Communautés de Savoirs appellent à faciliter la réponse à des opportunités concrètes comme par exemple monter des projets, préparer des synthèses, investir de nouveaux outils collaboratifs, répondre à des demandes institutionnelles et d’organismes internationaux ou encore rendre plus visible et accessible la science de la durabilité et ses méthodes.
Chaque communauté de savoirs propose une feuille de route qui précise ses enjeux, ses thématiques prioritaires et ses activités pour 2022-2023. Les activités des CoSav peuvent se décliner en neuf grandes catégories d’actions proposées et mises en place par les membres des CoSav sur un mode participatif et volontaire. | ![]() |
À PROPOS DE CE SITE
Ce site permet :
- de donner des actualités de la communauté.
- de donner une visibilité sur les actions menées et sur notre feuille de route
- de Cartographier et partager des les projets interdisciplinaires gravitant autour de nos enjeux
- de cartographier les membres de la CoSav
- d'ouvrir à une contribution élargie à des membres ne pouvant participer à tous les événements organisés.
Notre processus de publication
Nous souhaiterions publier certains de vos travaux sur la plateforme numérique COSAV ; si cela vous convient, vous pouvez adresser le document ou lien via le formulaire de contact ci-dessous.
Les documents publiés répondent aux thématiques suivantes :
- Gouvernance
- Inclusion
- Sécurité et droits humains
- Médiation et gestion de conflits
- Résilience
Et peuvent être de différents types : rapports ou études (techniques, académiques), articles de revue, notes courtes ou « policy briefs », compte rendus de colloque.
Nous privilégions les ressources récentes (de 2010 à aujourd’hui), mais élargissons volontiers aux ressources plus anciennes en fonction des besoins, suggestions des utilisateurs et de la pertinence de certaines ressources.
A la réception des documents, l’administrateur de plateforme met à jour la base documentaire.
Pour chaque document :
- Il s’assure de disposer des droits de publication et au besoin, une demande formelle d’autorisation est transmise au propriétaire des droits sur le document
- Une fois les droits obtenus, le document est enregistré sur la plateforme numérique
- Le processus d’indexation est réalisé par l’identification des mots-clefs adaptés et des catégories de classification (thématiques, types et zones géographiques)
- Le document est mis en ligne.
N’hésitez pas à nous faire remonter tout problème, nous sommes dans une démarche d’amélioration continue !
L’Equipe COSAV